On continue dans la sushi party … En l’occurrence c’est plus des makis, mais bon vous avez compris l’idée quoi ! Alternative pour ceux qui ne mangent pas de poisson cru, idéal pour les carnivores, aujourd’hui c’est makis de bidoche ! Après tout le principe des sushis, makis et compagnie, c’est du riz, des algues et un bout de poisson cru, et si les Japonais sont très friants de poisson c’est que là-bas la viande, bah ça court pas les rues. Alors pour donner un côté un peu plus « frenchi » à tout ça, je me suis dit que j’allais tester avec de la viande. Et puisque la meilleure viande à consommer crue c’est le boeuf, bah ça sera des makis au boeuf. Bon bien sur n’essayez pas de faire cette recette avec de la bavette, ou du coeur de boeuf, l’idée c’est d’avoir un morceau super tendre à la base, sinon aucun intérêt et je ne vous parle même pas de la mastication ! Sans taper non plus dans du filet, un morceau de rumsteck du boucher du coin sera idéal. Pour donner un peu plus de goût à la viande je l’ai faite mariner avec un peu de miso blanc que j’ai eu la chance de découvrir grâce à Edelices. Kesako le miso ? C’est une espèce de pâte fermentée Japonaise à base de soja. Le miso blanc est une variété de miso plutôt jeune, du coup le goût est très doux, légèrement sucré et surtout plein de saveurs. Impossible de vous dire quel goût ça à car ça ne ressemble à rien d’autre. En tout cas avec le boeuf mariné c’est idéal (enfin moi ça m’a beaucoup plu) !
Sushis de Maquereau (préparation du riz à sushi)
Mon amour pour la culture, et donc logiquement la cuisine, Japonaise à commencé très tôt ! Certainement du aux allers-retour incessant que mon père faisait la bas pour son boulot quand j’étais gamine, ou peut être parce que mon amoureux se trouvait la bas (ouais ouais moi j’étais amoureuse de Nicky Larson et je voulais aller vivre chez les Nippons pour le retrouver). J’ai même pris de cours de Japonais à la fac’, mais laisse tomber, déjà que je sais pas très bien parler le français je ne te raconte même pas la galère pour le Japonais. Bref tout ça pour dire que le Japon, un jour j’irais. Bon alors pour moi la cuisine Japonaise c’est loin d’être exclusivement les sushis, mais bon c’est quand même un peu l’emblème alors réviser ses classique de temps en temps ça fait pas de mal, surtout que j’ai reçu tous les signes nécessaire pour en réaliser. Ça à commencé la semaine dernière avec ça : « Sushis, les recettes d’un succès« . Le reportage qui à un peu changé ma vie. Oui, depuis ce très bon reportage, j’ai décidé d’arrêter de manger du saumon, et oui même si j’adore ça, j’avais déjà des doutes depuis quelques temps, mais la c’est sur le saumon c’est fini (ah bah faut regarder le reportage hein). Bon quoi qu’il en soit ce reportage m’a donné envie de m’enfiler une bonne brochette de Sushi, et vu que chez moi y’a qu’un seul « resto’ à sushi », et je le met bien entre guillemets parce que je n’ai jamais mangé quelque chose d’aussi dégueulasse de toute ma vie, je me suis donc dis que j’allais en faire (ça faisait un bail). Et la surprise du destin ou coup du hasard, mon partenaire Edelices m’a fait tester leurs nouveaux produits japonais . Déjà j’ai été subjuguée (oui il m’en faut peu) par la beauté des packaging ! Oui pour moi le packaging c’est méga super important, et là, tout est magnifique (premier bon point), mais en plus les produits sont de très bonne qualité, directement importé de chez nos amis Nippons ! Je crois même que je n’avais jamais réussit à faire un aussi beau riz à sushi (peut être que je me suis bien appliqué, mais je pense que cela vient aussi de la qualité du riz). Bon j’ai opté pour le maquereau car c’est un poisson que j’aime beaucoup, et pour ne rien enlever à son charme, c’est quand même vachement peu cher (par rapport à un morceau de thon par exemple) …