Depuis quelque temps j’avoue que je n’ai vraiment plus le temps de cuisiner ! Le « métro, boulot dodo » s’est emparé de moi, même si dans mon cas c’est plus « twingo, boulot, dodo », le principe reste le même. Remarquez, je ne sais pas trop pourquoi je parle de routine, car croyez-moi, être professeur de cuisine, dans un collège et pour une section SEGPA qui plus est, n’a absolument rien de routinier ! Non, non, non ! En fait c’est un peu l’aventure Banga à chaque nouveau cours : « Allez hop ! On y va, en route pour l’aventure ! ». Enfin bon, je ne vais pas vous rappeler comment vous étiez à 14/15 ans (hé oui…). Mais bon, je les aime bien mes petits (oui je les appelle les petits, je sais que ça les énerve ! niark niark !), même s’ils auront ma peau à un moment ou un autre :p 😉 ! Ce que j’aurais compris en 2015, c’est qu’en fait les vacances scolaires, ce n’est pas pour les élèves, c’est pour les profs ! Sérieusement, il y a quelques mois j’aurais pu dire qu’être prof, c’est vraiment un métier à la cool ou t’es tout le temps en vacances ! Bah je ne suis plus du tout du même avis ! Maintenant je sais que les vacances sont nécessaires pour éviter tout désordre psychologique ! 😉 Mais bon les vacances c’est pas encore (eh non dans une semaine 😉 !), alors il faut des recettes qui ne prennent pas trop de temps (non parce que quand tu cuisines avec une bande d’ados, t’as plus envie de cuisiner quand tu rentres chez toi, tout ce que tu veux faire, c’est boire un bon verre de vin, et fusionner avec ton canapé). Aujourd’hui dans la série recette express, je vous propose une papillote de maquereau, fenouil et mandarine. Même pas une demi-heure pour réaliser ça, temps de cuisson inclus !
Sushis de Maquereau (préparation du riz à sushi)
Mon amour pour la culture, et donc logiquement la cuisine, Japonaise à commencé très tôt ! Certainement du aux allers-retour incessant que mon père faisait la bas pour son boulot quand j’étais gamine, ou peut être parce que mon amoureux se trouvait la bas (ouais ouais moi j’étais amoureuse de Nicky Larson et je voulais aller vivre chez les Nippons pour le retrouver). J’ai même pris de cours de Japonais à la fac’, mais laisse tomber, déjà que je sais pas très bien parler le français je ne te raconte même pas la galère pour le Japonais. Bref tout ça pour dire que le Japon, un jour j’irais. Bon alors pour moi la cuisine Japonaise c’est loin d’être exclusivement les sushis, mais bon c’est quand même un peu l’emblème alors réviser ses classique de temps en temps ça fait pas de mal, surtout que j’ai reçu tous les signes nécessaire pour en réaliser. Ça à commencé la semaine dernière avec ça : « Sushis, les recettes d’un succès« . Le reportage qui à un peu changé ma vie. Oui, depuis ce très bon reportage, j’ai décidé d’arrêter de manger du saumon, et oui même si j’adore ça, j’avais déjà des doutes depuis quelques temps, mais la c’est sur le saumon c’est fini (ah bah faut regarder le reportage hein). Bon quoi qu’il en soit ce reportage m’a donné envie de m’enfiler une bonne brochette de Sushi, et vu que chez moi y’a qu’un seul « resto’ à sushi », et je le met bien entre guillemets parce que je n’ai jamais mangé quelque chose d’aussi dégueulasse de toute ma vie, je me suis donc dis que j’allais en faire (ça faisait un bail). Et la surprise du destin ou coup du hasard, mon partenaire Edelices m’a fait tester leurs nouveaux produits japonais . Déjà j’ai été subjuguée (oui il m’en faut peu) par la beauté des packaging ! Oui pour moi le packaging c’est méga super important, et là, tout est magnifique (premier bon point), mais en plus les produits sont de très bonne qualité, directement importé de chez nos amis Nippons ! Je crois même que je n’avais jamais réussit à faire un aussi beau riz à sushi (peut être que je me suis bien appliqué, mais je pense que cela vient aussi de la qualité du riz). Bon j’ai opté pour le maquereau car c’est un poisson que j’aime beaucoup, et pour ne rien enlever à son charme, c’est quand même vachement peu cher (par rapport à un morceau de thon par exemple) …