Alors voilà. Bon. Heu… Par où commencer ! Le dernier article date (quelque peu) et je trouve enfin le temps, et la motivation de faire un article. Il fallait peut-être aussi un petit coup de pied aux fesses. Peut-être que les 300 recettes que j’ai faites depuis tout ce temps vont arriver (bon y’en a déjà 5 dans les starting blocs alors y’aura au moins 5 petites nouvelles – ça vous rassure? Non ? Même pas un petit peu ?!!).
En fait comme je n’aime plus mon blog (le rendu visuel, pas La Raffinerie Culinaire hein !), je n’avais plus trop envie d’y mettre les pieds. J’avoue que le deuxième enfant qui a pointé le bout de son nez n’a pas trop arrangé les choses, déjà que j’étais complètement débordée avec un. Cet article aurait donc pu s’appeler Mais PUT**** comment font ces héroïnes de femmes pour gérer leur vie avec des enfants ? mais non il s’attardera plutôt sur ma région et ses beaux produits (note pour plus tard ; songer à créer un blog pour raconter ma vie avec mes mioches).
Les Délicatesses, tu connais ? Si t’es de la Drôme tu connais forcement. Ce sont des petits pommes de terre primeur. Banco on est en plein dans la saison ! Plus elles sont petites, plus je les aime… Toutes fondantes, avec leur petit gout de noisettes. Faut aussi avouer qu’en plus d’être terriblement bonnes, c’est très facile a cuisiner. En plus comme je vis avec 3 hommes on pourrait se nourrir de viande et de patates (dixit Florence Foresti). Alors comme la viande ça doit être 1 à 2 fois par mois, bah on se rabat sur les patates. Les pommes de terre idéales de l’été : idéal au barbecue, en salades, sautées (houuu petites coquines), rôties… La réclame pourrait dire : Pour un été plein de tendresse, pense à la Délicatesse ! Bravo. Bravo vraiment. Merci. De rien, c’est cadeau.
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, un des derniers livres sortis par Larousse. J’ai beaucoup aimé le concept de proposer des cocktails à faire en grand format, alors certes, ce n’est pas nouveau (hein mon fwère !), mais ça peut nous inciter à nous y mettre plus souvent (heu vous ne me la ferez pas, vous faites vous aussi des soirées mojito ou vous passez plus de temps à faire des cocktails individuels qu’autre chose – et va-y un peu de menthe, un peu de citron, un peu de sucre, bla-bla bla-bla – bref faire ça à chaque fois que quelqu’un termine son verre, ça peut vite vous accaparer pour la soirée, surtout si vos potes ont une bonne descente !). En plus le livre est beau… c’est même, je trouve, son atout majeur. Après je fais partie de ces gens qui aiment les livres, non seulement pour leur contenu, mais aussi pour leurs images et/ou leurs mises en page. Les livres de cuisine, je les lis presque comme si c’était des comptines le soir avant de dormir (t’imagines si j’avais des gosses je leur lirais des recettes de cuisine pour dormir « et la d’un coup le grand méchant oignon s’est fait coupé en rondelles ! »). Bref, j’ai vraiment trouvé cet ouvrage sympa ! Et pour vous donner envie d’aller voir un peu plus loin, j’ai décidé de m’arrêter sur une recette qui m’a fait penser à Noël : Le Lutin gourmand. En fait à la base je voulais vous proposer une recette de lait de poule pour les fêtes, et on s’y rapproche fortement avec ce petit cocktail. Le lait de poule pour ceux qui ne connaissent pas, c’est une boisson que l’on sert à Noël, composée de lait, jaunes d’œuf, sucre et rhum. Dans l’idée c’est un peu une crème anglaise alcoolisée et plus liquide. À la différence du lait de poule, le « Lutin gourmand » est alcoolisé avec du Grand Marnier, on retrouve aussi des épices ; badiane, vanille, cardamome, cannelle et clou de girofle (dans le lait de poule, on s’orientera plus sur de la vanille, de la muscade ou de la cannelle). J’ai trouvé que c’était vraiment une boisson « esprit de Noël » avec ses notes d’orange et d’épices, idéale pour un après-midi en famille au coin du feu. À déguster avec des biscuits épicés, ou des financiers ;).
